Dimanche 16 novembre 7 16 /11 /Nov 17:25

 

Étienne, Étienne
Oh ! Tiens-le bien
Baisers salés salis
Tombés le long du lit de l'inédit
Il aime à la folie
Au ralenti je soulève les interdits
Oh !
Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Affolé affolant
Il glisse comme un gant
Pas de limite au goût de l'after beat
Reste allongé je vais te rallumer
Aïe
Étienne.

Étienne, Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Alléché, mal léché
Accolés tout collés
Très alanguie, je me sens étourdie
Toute alourdie, mais
Un très grand appétit
Oh !
Étienne, Étienne, Étienne
Oh ! tiens-le bien
Délassé, délaissé, enlacé, élancé
Si je te mords et encore et encore
Quand dans le dos
Je souffle le mot :
Oh ! Étienne.

Par justine-mo - Publié dans : Chansons érotiques
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 21:40

Que c'est triste quand on pense sans arrêt à l'autre et que on ne sait comment faire pour oublier !

 

Mais peut-on oublier tout ce que fut cette aventure passionnelle ?Son corps me hante ,j'ai mal de lui mais  c'est ainsi  la  vie  !4366963922_e745a19574_b.jpg

Parfois c'est une odeur subtile,parfois juste une image et le soir se dire que, si mon lit  parlait se serait chaud

 

Oublier sa voix ,ses mains ,oublier ses gestes?Cela me semble impossible!!Mais je dois vivre;avancer pour renaître avec une nouvelle « moi »

 

Mais pas oublier juste vivre intensement le temps qu'il me reste .

 

Quand je ferme les yeux c'est lui que je vois !

 

Mo

 

 

 

Le 15 novembre 2014

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 14:13

cancer du sein Y en a des mini et des grands
Y en a des flasques et des mous
Y en a des fermes aux gros bouts
Et des tombants bien ballottants
Y en a des jeunes y en a des vieux
Des énormes et des tout petits
Des grasses mamelles pleines d’envies
Et des p’tits pis doux et joyeux

Et tous ces seins sont promontoires
Et barricades à franchir
Pour des assauts dont les espoirs
Sont ceux de l’éternel désir
La beauté n’est jamais unique
Elle naît de chaque nudité
Et chaque poitrine révélée
Me devient rêves érotiques

Et puis madame il y a les vôtres
Qui ne ressemblent à aucun autre
Et qui me semblent être créés
À taille de mes mains mes baisers
Ils m’appartiennent comme j’appartiens
À leur frisson à leur satin
Et lorsque vous me les offrez
Mes rêves prennent réalité

 

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Par justine-mo - Publié dans : poèmes
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 07:21

 Au travail, nous étions sur un dossier épineux, Il était convenu étant donné que mon patron n’avait pas pu me voir dans la journée, pour cause de déplacement, me téléphone le soir même chez moi.
Une fois la journée terminé, je rentre chez moi, et après une bonne douche, je mis sur ma peau nue, simplement un peignoir. Ma femme tournait autour de moi, mais je la faisait patienter prétextant que je devais recevoir ce coup de téléphone important, qui allait nous interrompre.
Après trente minute environ la sonnerie du téléphone retenti, et c’est tant mieux car ma femme était de plus en plus chaude, et pour ma part, j’avais de plus en plus de mal à repousser ses avances. J’étais en pleine conversation avec mon patron , et je regardais ma femme que je trouve vraiment très jolie avec ses cheveux longs châtains, et ses jolis yeux marrons . Elle aussi était vêtue d’un simple peignoir, et elle se tenait devant moi attendant impatiemment que je termine ma conversation téléphonique afin que je l’honore comme il se doit.
J’étais assis sur le canapé du salon, et ma femme se tenait debout au centre de la pièce. Négligemment, j’avais les jambes écarté, dont l’une poser en hauteur sur la petite table du salon. Ce qui laissait voir à mon épouse ma queue, dont l’érection naissante, ne lui avait pas échappée. Elle qui était déjà chaude comme la braise, cela ne faisait que rajouter de l’huile sur le feu. Elle regarda fixement ma queue avec envie. Je replaça le peignoir de manière plus décente pour masquer ma bite de la vue de ma femme. A sa mine déconfite, je vis qu’elle était très déçue.
Le fait de me refuser temporairement, je précise à elle, semblait la décevoir, certes, mais elle prenait aussi cela comme un défi, et un défi qui l’excitait encore plus, si bien qu’elle ôta son peignoir, m’apparaissant ainsi totalement nue. elle prenait des poses provocantes qui me chauffait de plus en plus. Au bout que quelques instant ma queue était bien en éveil, et on pouvait le constater grâce à la bosse qui se dessinait sur le peignoir.
A ce moment là, quand ma queue est bien dure, il ne m’est plus possible de résister à la tentation. Ma femme le sait très bien. C’est la raison pour laquelle, elle s’est agenouillé face à moi, à découvert ma queue en poussant le tissus.
Tout en continuant de parler au téléphone, je regardais ma femme, qui me reluquait la bite. Elle la saisit dans sa main, puis commença, doucement, tout doucement, un mouvement de va et vient. Elle me branlait tout en me regardant fixement dans les yeux. Je commençais à être troublé, et je risquait de ne plus savoir ce que je racontais au téléphone, donc je voulus lui enlever la main de mon sexe. Elle força pour m’en empêcher s’agrippant à ma queue de toutes ses forces, et la pression qu’elle mettait sur mon membre me faisais durcir encore plus. Pour ne pas que je la sépare de mon pénis, elle approcha sa bouche, et elle entoura mon gland de ses lèvres pulpeuses.
Elle commença à me sucer avec la tête sur le coté, tout en continuant de me regarder dans les yeux. Elle adore voir mes yeux lorsque je jouis. Elle stoppa sa caresse buccale, car elle avait toujours très envie de faire l’amour, et cette petite pipe, et cette petite branlette ne l’avait bien entendu pas combler.
Elle approcha sa fente de ma queue, frottant son clitoris à l’aide de mon gland. Sa position était très vulgaire, car elle avait les jambes écartées, et la chatte bien en avant. Cela me rendait d’autant plus fou de désir pour elle.
Finalement elle me tourna le dos se plaça entre mes jambes, dos à moi, saisit ma bite et la fourra dans sa chatte tout en s’asseyant sur ma queue . Elle venait de s’empaler sur moi. Elle prit appuie avec ses mains sur mes cuisses, et commença à monter et à descendre sur ma bite fièrement dressé. Je ne pouvais pas voir son visage avec cette position, mais je pouvais entendre sa respiration entrecoupé. elle commençait peu à peu à jouir.
Elle montait puis relâchait totalement les muscles de ses cuisses pour se laisser tomber sur mes jambes, s’empalant le plus profondément possible sur mon pénis. Elle bougeait de plus en plus rapidement. Elle attrapa ma main libre, et la posa sur son clitoris. Je compris qu’elle voulait que j’agite son petit clito pendant quelle montait et qu’elle descendait .
Le clito aidant, au bout de quelques montées, et quelques descentes, ma femme obtenu un orgasme. Elle tentait de le contenir, avec grand peine. Il est vrai qu’il m’aurait été difficile d’expliquer à mon patron pourquoi une femme venait de jouir pendant que je lui parlais au téléphone. Je pouvais sentir ses jambes tremblés, si bien qu’elle était incapable de pouvoir remonter. C’est donc comme ça que ma femme a joui, ma queue bien en elle, planté profondément dans son vagin, avec l’une de mes mains agitant toujours son bouton de plaisir. Étant donnée que ses jambes ne pouvais plus lui faire faire un mouvement de bas en haut, ma femme choisit un mouvement circulaire. Elle bougeait son bassin et ma queue frottait les parois de son vagin, tandis que je pouvais sentir les muscles de son périnée serré et desserré ma queue.
Lorsque elle eut un second orgasme, je sus qu’il était plus violent que le premier car elle planta ses ongles dans mes cuisses. Son corps était secoué de spasmes, tout comme son vagin d’ailleurs, qui me serrait la queue à chaque contraction de ses muscles, je joui également en elle en éjaculant violemment, lui tapissant ainsi le fond de son utérus de mon sperme. Lorsque mon plaisir arriva, j’étais justement en train de parler. Je dus stopper net au beau milieu d’une phrase afin de ne pas me trahir. Mon patron s’en étonna en me demandant si cela allait. Je lui répondi que oui, si le pauvre s’avait que je venais de baiser ma femme en sa compagnie.
Finalement cette expérience nous as beaucoup plus et nous le faisons maintenant très souvent, par exemple lorsque ma belle mère à téléphoner le lendemain pour prendre des nouvelles, j’ai obtenu ma vengeance car ma femme était vêtue d’une petite mini jupe, il m’a alors suffit de lui baisser sa petite culotte, et de lui faire une langue, tandis qu’elle se tenait debout dans la cuisine. Sa voix devenait tremblante, et elle dû même se justifier auprès de sa mère en lui expliquant qu’elle était souffrante et qu’elle devait couver quelque chose. Un orgasme par exemple, pensais je intérieurement. Puis une fois bien excité, je la fis pencher en avant les coudes sur la table, souleva sa jupette, puis lui enfila mon dard bien au fond de sa fente humide. Le cunnilingus que je lui avait fait subir avait bien lubrifié sa petite chatte, et s’est sans aucun mal que je pus m’introduire profondément en elle.
Je m’accrocha ensuite à ses hanches puis commença un mouvement de vas et vient dans son sexe. Elle aurait pu trouver un prétexte et dire à sa mère qu’elle la rappellerai d’ici quelques minutes, histoire d’enlever quelque chose du four par exemple, mais elle n’en fit rien. Non, cela l’excitait beaucoup trop de se faire sauter tout en discutant au téléphone, devant rester la plus normale et la plus neutre possible. Finalement je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Je sortis ma queue de sa petite grotte. Je fis mettre ma femme à genoux devant moi, et commença à me masturber devant son visage. Complice, elle compris que je voulais lui faire subir une éjaculation faciale. C’est elle qui me branla en saisissant ma queue dans sa main. Elle se mit à l’agiter énergiquement, tous en parlant de la pluie et du beau temps. Je lui envoya de longue giclée de sperme, sur le visage. Je partis ensuite me nettoyer dans la salle d’eau, laissant ma charmante épouse à sa conversation téléphonique. Lorsque je revint dans la cuisine, ma petite femme était toujours là, assise sur une des chaises avec mon sperme sur son visage, dont une partie était sur ses lèvres, et je pouvais voir que lorsqu’elle parlais, elle avait un filet de sperme qui reliait sa lèvre inférieur à sa lèvre supérieur. Cela m’excita de nouveau, et je recommençait à m’exciter en la regardant ainsi souillée…
Voilà les petits jeux érotique que nous pratiquons, systématiquement dès que l’un est au téléphone, l’autre accourt pour le faire jouir, et le défi, c’est de bien entendu de ne pas se faire repérer par nos interlocuteurs.

 

nuesoussarobedechambre.jpgEn espérant que ce récit coquin vous ait plus..... Sameeh Deesse.

Par justine-mo - Publié dans : Histoires des autres
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 18:15

 Avec le temps j'avais accepté ce rôle de soumise et quand,
il voulu faire quelques photos que pour nous j'accepta,
ce qui fut dur c'est de le voir se balader nu et,
ne pas avoir le droit de le toucher tant qu'il me le dirait pas!

Fire-Flames2.jpg

   Lui ne se gênait pas pour me toucher,
pour faire monter le désir en moi et faire ce qu'il voulait de moi !
 Puis enfin lorsqu'il avait obtenu ce qu'il voulait,
j'avais enfin le droit de le toucher,

thumbnail Mo sucking

 de goûter à ce qu'offrait son corps et,
J'en retirais beaucoup de plaisir !
 

 

 

Le 11/11/2014

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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