Histoires des autres

Samedi 14 février 6 14 /02 /Fév 09:30

Mes mains glissent lentement sur ton pantalon et je te caresse au travers du tissu. durant ce moment nous sommes les yeux dans les yeux. A quelques centimètre l'un de l'autre et je sens ton souffle chaud sur mon visage. Tes joues sont rouge, les miennes aussi d'ailleurs. pendant ce temps, ma main continue a glisser sur ta queue. Mes doigts se resserrent sur elle. Je frotte le tissu afin de la caresser sur toute la longueur.

Hummm que jaime ce contact, ton penis commence à prendre de la vigueur et cela mexcite beaucoup
A présent Jouvre ta ceinture, puis lentement je déboutonner ton pantalon. Nous sommes coller l'un a l'autre a lautre et toi aussi tu commence à sentir ma chatte e toute chaude.

Tu as envie de me toucher, mais je ne te laisse pas faire, aujourdhui cest moi qui te contrôle, je vais te branler, te masturber, te sucer à nen plus finir, jai envie de recevoir tonsperme dans ma bouche, hummmm quel délice, rien que dy penser..

Tu t'approches de plus en plus de moi, dépose un baiser sur mes lèvres tu laisses ma main parcourir le tissu qui me sépare de ton penis , je continue de légère pressions, je sais que tu nen peux plus et que tu as envie dêtre sucer, mais chaque chose en son temps.

Je t'allonge sur le lit, m assoit délicatement sur toi, je fais descendre enfin ton boxer et là je vois ta belle queue bien montée, qui ne demande que je m'occupe d'elle.
Et je continue à la prendre délicatement entre mes doigts et entame un très léger va et vient," tu aimes, oui j'adore".

je sens ta queue qui gonfle de plus en plus sous l'effet de mes caresses, je continue doucement, lentement, je la sens fléchir, je la sens grossir.

Je remonte un peu sur toi pour que ma chatte mouillée soit en contact avec ta queue durcie, tu m'embrasses doucement, tu aimes mes lèvres, tes baisers caressent ma peau, tu m'entend respirer plus fort.

A présent j'ai très envie de te sucer, j'ai envie d'approcher ma langue de ta queue, elle est si bonne, je continue à t'embrasser tout en descendant sur ton corps, j 'arrive à l'orée de ta toison, respire le parfum de ton sexe, l'imprimant dans ma mémoire.

Encore une fois je la regarde avec des yeux de gourmande, elle me plait, elle est une invitation a la débauche, fièrement dressée, j y dépose un baiser, puis un autre, je la lèche enfin de bas en haut, appuyant ma langue a l'extrémité, je te sens chavirer  tu sens enfin mon haleine sur ta verge, tu sens ma langue te lécher comme il se doit, je caresse ta queue de ma joue, lèche tes couilles, les prends dans ta bouche, mes doigts caressent tes cuisses, les écartes un peu, pour y passer un doigt, tu apprécies vraiment ce que je te fais car j'entends tes gémissements, tes râles.

Mon majeur s'insinue légèrement dans ton anus , tu le laisse faire et adore le contact que je te procure, titillant de plus en plus ton anus, je t'entends gémir de plaisir, , tu écartes encore les jambes, maintenant mes mouvements sont plus libres, je voudrais t'enfoncer encore plus mon majeur, chose que je fais sans tabou, je suce ton gland en même temps. Ma langue glisse sur ta queue, descend vers tes couilles, je la fais descendre encore, j'ai envie de lécher ton corps en entier, je vois ton trou, enlève mon doigt et le lèche doucement à grands coups de langue, je t'entends soupirer, je sens ta main se poser sur ma tête, linvitant à continuer cette belle sucion , je m'applique à bien insister, laissant la pointe posée sur l'entrée de ton cul, ma main revient sur ta queue, je l'a saisi à pleine bouche et te fais des va et viens, je sens la chaleur de ton corps, ta respiration brûlante et saccadée, en même temps ma main te caresse les testicules, je te les masses.

Je t'entends me dire HUMMMMM continue vas y, pompe moi la queue !!!!!!!!

Alors j'accentue encore plus le mouvement de ma bouche, tu me donne de léger coup de bassin pour que ton penis soit bien pris au fond de ma gorge, tu goûtes ce plaisir que je t'offre, je sens ton éjaculation arriver j'attrape délicatement ton gland avec mes dents en le mordillant puis le place doucement sur ma langue, serrant encore plus mes lèvres autour de ton membre, j'appuie doucement avec ma tête vers ton ventre, le gland se décalotte doucement dans ma bouche, et jentreprends aussitôt de le caresser de ma langue en l'inondant dune abondante salive.

Ma langue tournant autour de l'arete, te procure des sensations incroyables, puis de la pointe de ma langue jexplore les replis de la peau du prépuce, à la base de la langue.

Que j'adore jouer avec ta belle queue.

Je salive toujours autant puis te lèche de plus belle avec le plat de ma langue, la faisant tourner autour de ton gland.
Je vois ton plaisir monter dune manière incroyable et cette fois tu te laisse aller poussant le bassin en avant écartant encore un peu plus les cuisses je sens ton éjaculation arriver dans ma bouche, avec gourmandise je reçois ton sperme.
Tu te libères en gémissant de plus belle et en te lâchant dans ma belle bouche, je reçois 6 giclées, quel délice !!!!!!!. 

Avec un air coquin, je te dis, maintenant tu dois t'occuper de moi , car à te sucer comme je viens de le faire, j'ai la chatte en feu.

Angelle
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Par justine-mo - Publié dans : Histoires des autres
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Samedi 14 février 6 14 /02 /Fév 09:26

Il a soulevé mon menton du bout de la cravache. Je croise son regard, il y a du défi au fond du mien, un désir d'abandon aussi. Il sourit, amusé et la cravache continue son exploration, descend, remonte... Je frissonne. 

Je tire sur les liens de mes poignets et vacille un peu sur mes talons. Son visage s'est durci, il attend que je reste scrupuleusement immobile, mais c'est plus fort que moi, je bouge, je m'agite.

Ses doigts pourtant effleurent ma joue, mon cou, jouent avec une boucle de mes cheveux. Mes lèvres se précipitent sur son poignet, goûtent sa peau, la mordille. Il m'abandonne sa main quelques instants, je la couvre de baisers. Il sourit, j'aime son sourire, il est si beau quand il sourit, avec cette lueur espiègle au fond de l'oeil.

Il pince les pointes de mes seins, plus fort, jusqu'à ce que j'esquisse une légère grimace. Non, il ne me laissera pas prendre le dessus, il ne me laissera pas lui jeter mon orgueil à la figure. Je marmonne un mot de dépit, un mot grossier, irrespecteux. Une gifle. Je ne l'ai pas volée. Un désir de révolte pointe, mais sa main subitement s'est glissée entre mes cuisses. Son regard se fait ironique, je ne peux pas l'abuser, ni m'abuser. Je sens en même temps qu'il est heureux, heureux de ce plaisir qu'il m'offre, de ce plaisir que nous nous offrons, que nous partageons. Nous ne serons pas déçus.

Sa main me possède, me baise, je gémis, j'halète, je voudrais m'agripper à ses épaules, planter mes ongles dans sa chair, mais mes poignets sont liés au dessus de ma tête, à cet anneau sur lequel je tire, sans désir pourtant, de m'en libérer.

J'ai envie de rester ainsi, ne décider de rien, me soumettre, entièrement. C'est ce qu'il attend, et bientôt, je me fondrai en lui, sa volonté sera mienne, je ne me poserai plus de question, il n'y aura plus que le plaisir, plus que lui, plus que nous, je serais ... sa ... je n'éprouverais plus de honte, je vais jouir de cette perversité, de ma perversité.

Il s'est écarté, m'a regardée. Il cherche quelque chose, mais quoi ? Mon poul s'accélère j'ai envie qu'il me touche. Il s'éloigne. Je tape du pied, je regrette aussitôt cette impulsivité. Pourquoi ces signes qui lui montrent que je ne suis pas encore totalement abandonnée ? Il revient et dans sa main, son jouet favori. Il se place derrière moi. Les lanières soudain, cinglent mes fesses, mes reins, je laisse échapper un cri. 

"Chuuuut...Je ne veux pas t'entendre". Il n'a pas élevé le ton, il ne crie jamais. Je serre les dents, je m'accroche à mes liens, je crispe mes muscles, jambes bien écartées et je cambre mes reins, m'offrant dans cette position qu'il affectionne, je ne suis plus indécente, je suis obscène, et je tends l'oreille à ses commentaires, à ces mots qui affolent mes sens et me remplissent de honte. Mais cette honte elle-même me fera jouir, je le sais. 

"Tu te rappelle ce que je veux entendre, pour que j'arrête ?" ajoute-t-il.

Oui je me souviens, mais maudit orgueil. Tu veux jouer ? Jouons ! Je souris, "même pas mal" pourrais-je lancer puérilement. Pourtant si, ma peau cuit, mais cette chaleur se répand dans mon corps. Je compte, à voix haute. Il attend que je cède, mais chaque coup appelle le prochain, je me bats avec moi-même, bientôt je vais me rendre, il va gagner... il prend son temps, mais je viens de me lancer un défi. 

Je sens qu'il doute, j'aime ses doutes, j'aime sa vulnérabilité dans ces moments là. Sa main apaise la douleur, elle se fait douceur, puis glisse entre mes jambes, s'y attarde longuement, et cela devient insoutenable, je sanglote, mes larmes coulent, des spasmes me secouent, je le supplie, d'arrêter, de continuer, je ne sais plus. Il finit par s'arrêter, la tension retombe. Il me sourit, m'interroge du regard.
Je capitule et je prononce la phrase qui marque ma soumission "merci Maître"... Maître... Ce mot m'effraye, mais je m'en délecte. Je tremble. Non, ce n'est pourtant pas une défaite. Dans nos jeux, il n'y a que deux vainqueurs.

Il me détache, m'attire contre lui, des mots tendres viennent remplacer ceux par lesquels il m'humiliait quelques instant avant, quand je le défiais, il me rappelle que ce n'est qu'un jeu, essuie mes joues humides. Nous nous sourions, complices, amoureux. Puis son regard s'assombrit, mon poul s'accélère, je déboucle maladroitement sa ceinture, il va me prendre, là, brutalement, je veux qu'il me baise. Il ne sera pas doux, un spasme me secoue, je gémis, mes doigts s'accrochent fébrilement à ses épaules, froissent sa chemise, je l'aime.

La soirée commence à peine et nous avons toute la nuit.

Ecrit par un(e) plus-d-une-femme-interrogee-sur-dix-15-avoue-avoir-une_5481.jpg Anonyme
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Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 13:11
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Sombre dans l’âme mais chaude dans l’antre, c’est ainsi que tu me trouvas !

Tu me poussa sur cette froide table

L’envie d’être à toi m’envahi de haut en bas !

Sans résister j’acceptai d’être ton esclave.

Tu m’immobilisas les poignets et les chevilles

Et sans rien dire, tu me donnais envie

Ma jupe qui cachait si bien mon domaine sacré

Sans hésiter tu l’as relevée et enlevée!

Je fermai les jambes comme pour me refuser à toi

Mais tu voulais mon antre rien que pour toi.

Tu fis glisser tes mains sur mes jambes

Des frissons parcoururent mon corps

Je te regardai comme une fille en manque

Qui en veut encore et encore !

Tu t’approchas de mon doux domaine

Que d’une main tu caressas

C’est avec tant de haine

Que de tes yeux tu me fixas !

Tu ouvris les portes du domaine sacré

Car mon bourgeon tu voulais dévoiler

De ta bouche sortit un léger vent

Qui excita encore plus mon envie

Et je t’en voulais tant

Que de ma vie je t’aurais bannit !

Avec ta langue pointue mon bouton tu effleuras

Des milliers de frissons montait en moi

Je ne pouvais retenir mes gémissements

Qui te faisais comprendre mon plaisir

Cette torture du désir qui me plaisait tant

Fit mes bouts se brandir.

Je soulevais mon bassin pour m’approcher de ta langue

Mais toi jusqu’au bout tu voulais me fais languir

Tout ce que je voulais c’était sentir ta langue

Qui essayais d’ouvrir les portes du plaisir !

Là tu léchais en douceur mes chaudes et humides lèvres

Tu voulais m’entendre gémir encore plus

Je ne voulais pas que tu fasses de trêve

Mon bouton je voulais que tu le suce !

Ta langue se durcit pour pénétrer en mon antre

C’est avec plaisir qu’il t’accueilla

Des crampes ont envahirent mon ventre

Et tu te délectais de mon miel !

Tu faisais de brusques allers retours

Je me cambrais et bombais la poitrine

De tes mains mes seins tu entour

And I feel like a virgin !

Mes seins se durcirent au contact de tes mains

Toute ma vulve tremblait de désir

Tu serrais de plus belle mes seins

De ta langue tu voulais me faire jouir !

Tu arrêta de lécher mon antre humide et chaud

Et dirigeai ton regard loin derrière moi !

Tapis dans l’ombre, tu cachais le plus beau

Ton ignoble ami qui du sexe était le roi !

De moi il s’approcha pour me tenir les jambes

Pendant que toi tu montait sur moi

Il s’approcha et sortit sa longue langue

Et ma bouche accueillit ta verge en émoi !

Ton ignoble compagnon me lécha mon domaine

Et toi tu m’obligeait à te sucer

Il mit ses mains dans mes aines

Et comme une bête continua à me lécher !

Tout mon corps bougeait et frissonnait

Ta longue et dure verge m’étouffait

Ton compagnon entrait sa langue dans mon antre

Et je la sentait partout dans mon ventre.

La jouissance arrivait au galop

Je n’en pouvait plus, c’était trop !

Ta verge dans ma bouche et sa langue en moi

Attachée sans possibilité de combat !

Je voulais crier mon plaisir

Mais ta verge m’en empêchait

J’étais en plein délire

Et en plus j’adorais !

Ton compagnon alla de plus en plus profond

Alors que toi tu cracha ton venin en moi

Ah lui je le hais ton compagnon

Mais je devrais le refaire je dirais : « Pourquoi pas ! »

Tu retiras ta verge de ma bouche toute endolorie

Ton compagnon retira sa langue de mon domaine

Tu voulais absolument que je crie

Alors tu dis à ton compagnon d’effectuer la sodomie !

Sa grosse et longue verge se dirigea vers moi

Je ne voulais pas mais ne pouvais faire autrement

Il vint et entra en moi

Du fin fond de moi sortirent des hurlements

Tu jubilais de me voir ainsi

Tu avais enfin eu ce dont tu avais envie

Me voir souffrir et avoir plaisir

Et tu partit en me lançant un satanique sourire !

©2004 Le Livre de Démonia

Par justine-mo - Publié dans : Histoires des autres
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 20:05

Jean-Baptiste_Francois_Joseph_de_Sade.jpg J'ai lu il y a peu  20 nuances de Grey honnetement c'est d'une fadeur  ;je ne l'ai meme pas  fini 

 

J'avais  lu avant Le Marquis  de  Sade:

 

 



Citations du Marquis de Sade :

"Oui, je suis libertin, j'ai conçu tout ce qu'on peut concevoir dans ce genre-là, mais je n'ai sûrement pas fait tout ce que j'ai conçu et ne le ferai sûrement jamais. Je suis un libertin, mais je ne suis pas un criminel ni un meurtrier."
(Marquis de Sade / 1740-1814)

Citations : "Dialogue entre un Prêtre et un Moribond" (1782)

"Le nom de Dieu ne sera jamais prononcé qu'accompagné d'invectives et d'imprécations et on le répètera le plus souvent possible."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Les 120 journées de Sodome / 1785)

"La prière est la plus douce consolation du malheureux ; il devient plus fort quand il a rempli ce devoir."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)

"Le système de l'amour du prochain est une chimère que nous devons au christianisme et non pas à la nature."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)

"L'homme serait le plus heureux des êtres si du seul besoin qu'il a d'une illusion quelconque ne naissait aussitôt la réalité."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)

"Un de mes plus grands plaisirs est de jurer Dieu quand je bande; il me semble que mon esprit, alors mille fois plus exalté, abhorre et méprise bien mieux cette dégoûtante chimère."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / La Philosophie dans le boudoir / 1795)

"Dès l'instant où il n'y a plus de Dieu, à quoi sert d'insulter son nom ? Mais c'est qu'il est essentiel de prononcer des mots forts ou sales dans l'ivresse du plaisir, et que ceux du blasphème servent bien l'imagination ; il faut orner ces mots du plus grand luxe d'expression ; il faut qu'ils scandalisent le plus possible ; car il est très doux de scandaliser ; il existe là un petit triomphe pour l'orgueil qui n'est nullement à dédaigner."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / La Philosophie dans le boudoir / 1795)

"Un Dieu suppose une création, c'est-à-dire un instant où il n'y eut rien, ou bien un instant où tout fut dans le chaos. Si l'un ou l'autre de ces états était un mal, pourquoi votre Dieu le laissait-il subsister ? Etait-il un bien, pourquoi le change-t-il ? Mais si tout est bien maintenant, votre Dieu n'a plus rien à faire: or, s'il est inutile, peut-il être puissant, et s'il n'est pas puissant peut-il être Dieu; si la nature se meut elle-même enfin, à quoi sert le moteur ?"
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1797)

"L'idée de dieu est, je l'avoue, le seul tort que je ne puisse pardonner à l'homme."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)

"Mon plus grand chagrin est qu'il n'existe réellement pas de Dieu et de me voir privé, par là, du plaisir de l'insulter plus positivement."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)

"Si ce Dieu, centre du mal et de la férocité, tourmente et fait tourmenter l'homme par la nature, et par d'autres hommes pendant tout le temps de son existence, comment douter qu'il n'agisse de même, et peut-être involontairement, sur ce souffle qui lui servit, et qui [...] n'est autre que le mal lui-même."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)

"Le prétendu Dieu des hommes n'est que l'assemblage de tous les êtres, de toutes les propriétés, de toutes les puissances ; il est la cause immanente et non distincte de tous les effets de la nature ; c'est parce qu'on s'est abusé sur les qualités de cet être chimérique, c'est parce qu'on l'a vu tour à tour bon, méchant, jaloux, vindicatif, qu'on a supposé de là qu'il devait punir ou récompenser. Mais Dieu n'est que la nature et tout égal à la nature : tous les êtres qu'elle produit sont indifférents à ses yeux, puisqu'il ne lui coûte pas plus à créer l'un que l'autre."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)

"Dieu est absolument pour l'homme ce que sont les couleurs pour un aveugle de naissance, il lui est impossible de se les figurer."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Pensées)

"Tout le bonheur des hommes est dans l'imagination."
(Marquis de Sade / 1740-1814)

Biographie du Marquis de Sade :

Ecrivain français, philosophe, libertin et athée. Donatien Alphonse François, marquis de Sade est né dans une vieille famille aristocratique. Entré à 14 ans dans une école militaire, il revient à Paris en 1763 comme capitaine. Il montre, en fréquentant les actrices et les courtisanes son goût pour la luxure, qui lui vaut, l'année même et peu de temps après son mariage, un premier séjour en prison pour "débauche outrée". 

Après une seconde incarcération de six mois en 1768 pour flagellation, il est accusé en 1772 d'empoisonnement pour avoir rendu malade une prostituée à qui il avait fait prendre des dragées aphrodisiaques. Il est condamné à mort par contumace. Arrêté, puis évadé, il est finalement repris et, sous le coup d'une lettre de cachet, incarcéré successivement à Vincennes, à la Bastille et à Charenton. C'est pendant cette longue période d'emprisonnement que Donatien Alphonse François de Sade commence à écrire pour dissiper son ennui. Il est libéré en 1790 par la Révolution comme toutes les victimes de lettres de cachet. 

Pendant la Révolution, ses deux fils émigrent, sa femme obtient la séparation du fait de ses violences conjugales. Ses biens en Provence ayant été pillés, sans ressources, le Marquis de Sade essaie de faire jouer ses pièces de théâtre pour pouvoir survivre. Bien qu'ayant milité dans une section révolutionnaire de quartier, il est condamné à mort en 1793. Il échappe à la guillotine à cause d'une erreur administrative. Il vit alors modestement de ses publications. Il est arrêté en 1801 à cause de ses écrits outrageux et de leur violence pornographique et interné par décision administrative à l'asile de fous de Charenton. Bien que totalement lucide et malgré ses protestations, il va y rester jusqu'à sa mort. Il aura passé 30 années en prison.

Maîtrisant parfaitement la langue française, le Marquis de Sade alterne dans ses ouvrages les scènes pornographiques souvent extrêmes et les dissertations philosophiques. Dans "Dialogue entre un prêtre et un moribond" (1782), il affirme un athéisme absolu et ne laissera plus passer une occasion de l'afficher dans ses écrits. Ce n'est qu'à partir du milieu de XXe siècle que son oeuvre, longtemps interdite et diabolisée, sera redécouverte et réhabilitée. Elle n'est plus lue sous le seul angle superficiel du "sadisme" et de la pornographie, mais sous sa fonction libératrice en s'attaquant aux hypocrisies de la société et à la pensée dominante. Le marquis de Sade défend les vices au nom de la nature, en en faisant apparaître les contradictions. Son imagination souvent outrancière est perçue comme le désir de libérer l'homme de ses contraintes. Il peut être considéré comme l'un des grands écrivains français et un philosophe qui va jusqu'au bout de ses pensées et aux limites de leurs conséquences logiques. 
Principales oeuvres : L'inconstant (comédie, 1781), Dialogue entre un prêtre et un moribond (1782), Le prévaricateur (tragédie, 1783), La folle épreuve ou le mari crédule (comédie, 1783), Les 120 journées de Sodome ou l'école du libertinage (1785), La vérité (1787), Aline et Valcour, les crimes de l'amour (1786, publié en 1795), Historiettes, contes et fabliaux (1788), Les crimes de l'amour (1788), Les infortunes de la vertu (1ère version de Justine, 1787), Justine ou les malheurs de la vertu (1788, publié en 1791), Eugénie de Franval (1788), Catalogue raisonné des Œuvres de M. Sxxx. (1788) , La philosophie dans le boudoir (1795), La nouvelle Justine (1797), L'Histoire de Juliette (1797).
Voir un extrait de l'article de L'Humanité du 24 août 2009 : Sade, ou le plus athée des athées

Liens:
      Oeuvres du Marquis de Sade
      Histori-Art - Les perversions du marquis de Sade
Par justine-mo - Publié dans : Histoires des autres
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Dimanche 21 décembre 7 21 /12 /Déc 19:25

Inspiré d'un fait réel...

Secret de tournage sur L'Empire des sens

L'Empire des sens est inspiré de faits authentiques. Dans le Japon militariste de 1936, un couple défraya la chronique en vivant une passion charnelle extrême. L'ancienne Geisha Sada Abe et son amant Kichizo s'entraînèrent chacun dans une spirale érotique qui les coupa progressivement du monde extérieur. Une folie dictée par les sens qui se termina par l'arrestation de Sada Abe, retrouvée errant dans la rue avec le sexe de Kichizo qu'elle avait auparavant mutilé

 

 

 

Télécharger L'Empire des sens [DVDRiP] French

www.zone-telechargement.com/.../45001-lempire-des-sens-dvdrip.html
Poème sur l'empire  des sens
Le réveil a sonné et j'ai ouvert les yeux.
A peine connecté, je me sentais chanceux.
Et le jour s'est levé, moi les sens en éveil.
Les idées embrumées toujours dans le sommeil.
 
Soleil sur mon visage; en tête un rêve fou.
Bercé par ton image et puis celle de nous.
Allongée toute nue; ainsi je t'imagine
Là ton corps étendu, je te rêve câline.
 
 
L'empire des sensPar l'empire des sens, j'ai envie que tu vibres,
Cinq en toute innocence, je veux te rendre libre.
La vue, l'ouïe, le toucher; je vais te les décrire.
Le goût et l'odorat vont rythmer mes désirs...
 
Un coup d'oeil à tes formes, la courbe de tes hanches...
S'enflamment mes hormones, surtout quand tu te penches.
Le galbe de tes seins, les contours de ta bouche...
J'en deviens cabotin... Viens sans être farouche.
 
L'empire des sensD'abord quelques caresses, t'effleurer de mes mains.
Avec délicatesse, te parcourir sans fin. 
Toucher ta douce peau, ressentir le frisson
Qui te parcourt le dos; curieuse sensation.
 
T'entendre susurrer des mots doux à l'oreille
De ta voix amusée; je fonds pour toi, merveille.
Quelques gémissements, passion et puis tendresse,
Dans un ton envoûtant; je fonds pour toi, déesse.
 
L'empire des sensSucré ou pimenté, ne t'arrête pas là...
Amer ou épicé, continue là comme ça.
Goûter à tes baisers, moelleux sont ces trésors.
J'en suis comme drogué, c'est sûr j'en veux encore.
 
Je ferme alors les yeux et me laisse guider.
Mon nez aventureux, là c'est à lui de jouer.
Je pense à ton odeur; musquée, douce à la fois.
C'est rien que du bonheur, je te veux toute à moi.

Puis ce sixième sens, celui de l'intuition.
Il a son importance, nous fait perdre raison.
Sans lui je crois, je pense, que je serai parti...
Mais j'ai compris ma chance, je t'aime mon amie.
 
Kristone78©
Par justine-mo - Publié dans : Histoires des autres
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