Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 10:56

Lorsque je sors ,j'ai envie de vite rentrer chez moi et pour cela il y a une raison et comme je sais que cela est réel je me sens bien ,

 

Cette raison c'est une ombre ,un peu de toi ,je le sais car n'avions nous pas déjà ressenti cela ? Entre des voyages incorporels parfois la nuit puis ce rêve que nous fimes chacun de notre coté mais qui se rejoignais ! Voir sur ton blog ,

 

ce ressenti de ta présence me fait du bien!Mais parfois quand tu va mal je le sais aussi car ton ombre n'est pas là et je me sens triste ,

 

Parfois quand je me couche j'ai aussi cette impression de ta présence!Liés par quelque chose de plus fort que nous .

 

 

Mo Le 31 octobre 2014

4971365098803.jpg

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 27 octobre 1 27 /10 /Oct 13:05

  J'aime la douceur de son corps d'homme et,
j'aime le voir se déshabiller, voir ce fruit pour moi...
J'aime me donner à lui et jouir sous son joug,
mais j'aime aussi le sentir exploser en moi..

 Mars ce fut son jour n'ayant pas voulu qu'il me touche,
Je voulais juste qu'il s'abandonne et ce fut ainsi,
le caresser doucement oser le pénétrer de mes doigts,
sentir cette boule en lui se gonfler,
pendant que ma bouche sur lui s'activait,
puis le sentir s'arquer et,
récolter en moi son essence..

17114472

 

 Oui je n'oublie rien et,
j'y pense encore....

 

 Mo 27/09/2014

 

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 25 octobre 6 25 /10 /Oct 13:38

Comme le vent son souffle me fait frissonner

 

Comme une plume j'ai l'impression de voler

 

Une bouche douce et impérieuse s'empare de mes seins

 

Doucement sur mon sexe je sens sa main

 

Je ne peux plus lutter devant mon désir

 

Je me donne ,je crie mon plaisir

 

 

 

Souvenir de ce jour ou j'ai enfin oser parler (novembre  2013) g8c3b0im.jpg

 

 

 

Le 25 octobre 2014

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 18:31

handinbushmain-copie-1.jpg

 

 

Quand on se voit plus j'ai un manque de lui important et je n'arrive pas à combler cela!

 

Avant lui je papillonnais pour ne pas ressentir la solitude et me sentir désirée mais cela n'était que poudre aux yeux,Passer d'un amant à l'autre c'est pas ce qui rend la vie plus belle ,juste à dormir un peu mieux !

 

C'est vrai que entre nous c'est comme si nous nous connaissions depuis la nuit des temps et que j'ai accepté tant de choses car j'avais;j'ai une totale confiance en lui,

 

Le fist si il m'avait dit:on essaye j'aurais dit non,Mais il a fait de tel façon que je n'ai rien ressenti de désagréable et qu'ainsi;mon point G fut sollicité et que je compris que rendre tant était naturel et que je devais accepter d'être fontaine au risque de

de me retrouver la nuit dans des draps trempés avec aussi le mélange de nos essences et malgré cela je dormais encore mieux !

   

Je me suis acceptée enfin !

 

Mo le 22 octobre  2014

 

Voici  un petit article sur les femmes fontaines

 

 

Sommes-nous toutes des femmes fontaines ?

Plusieurs sexologues l’assurent : on ne naît pas femme fontaine, on le devient. Pour faire jaillir la source de ce plaisir si particulier, tout serait une question d’abandon…

Giulia Foïs


Des fontaines qui s’ignorent

Femmes fontaines : ces mots font rougir les filles et rêver les garçons. Chacun y accole ses représentations personnelles, y ajoutant parfois les images véhiculées – et souvent truquées – par les films porno. On imagine des femmes hurlant de plaisir, des geysers vivants… pour le moins déroutants. Anne-Charlotte parle doucement. Et cette jeune femme blonde démonte tranquillement nos clichés. Elle dit qu’elle vient d’un « milieu traditionnel, catholique ». Elle assure cependant qu’elle n’a pas « hérité de ses principes », et qu’elle a « toujours aimé l’amour ». Elle ajoute qu’elle est une femme fontaine, mais qu’elle ne l’a pas toujours été. « Quand je sentais monter le plaisir, j’avais l’impression que j’allais uriner, et je me retenais. Mais un jour, une amie m’a raconté comment, pendant l’orgasme, elle expulsait une quantité impressionnante de liquide. Elle parlait d’un plaisir immense, et ça a fait tilt en moi. »

Intriguée, la jeune femme cherche à en savoir plus. Dans une librairie, elle tombe sur Tout savoir sur le point G et l’éjaculation féminine (Tabou Édition, 2005) de Deborah Sundahl. Journaliste et féministe américaine, cette experte de l’éjaculation féminine part du principe que toutes les femmes sont des fontaines qui s’ignorent. Son livre comporte un chapitre d’exercices pratiques pour apprendre à faire jaillir la source de ce plaisir si particulier. Anne-Charlotte essaye. « Je suis une hédoniste et je suis curieuse. J’ai eu envie d’aller voir plus loin. Ça a marché. »

Une minorité mythique


Si cela a fonctionné pour elle, cela peut-il fonctionner pour toutes ? « Potentiellement, oui, affirme le gynécologue Sylvain Mimoun, auteur deCe que les femmes préfèrent (Albin Michel, 2008). Anatomiquement, les femmes fontaines n’ont rien qui les différencie des autres. Cela dit, elles restent une minorité à vivre cette expérience sans l’avoir cherché : de 6 à 36 % des femmes, selon les études. » Cette fourchette est très large, les chiffres incluant toutes celles à qui cela n’est arrivé qu’une fois. Car être une femme fontaine n’est pas une nature définitive. Certaines le découvrent dès le premier rapport sexuel, d’autres bien plus tard. Chez l’une, l’expulsion sera systématique ; chez l’autre, occasionnelle. La femme fontaine est plurielle. Elle n’est pas un être à part. C’est pourtant ce que l’on a longtemps cru.

« Leur rareté en a fait des déesses dans des civilisations antiques, ou des monstres dans notre culture, constate la sociologue Janine Mossuz-Lavau (La Vie sexuelle en France au Seuil, “Points”, 2005). On leur a attribué des pouvoirs magiques, ou de sorcellerie. » Comme tout ce qui sort de la norme, ce qui échappe à la compréhension immédiate, « elles sont devenues des mythes, supports de tous les fantasmes, souvent les plus malsains et bien loin de la réalité », poursuit le psychothérapeute et sexo-thérapeute Alain Héril. Cette réalité reste mal connue. Il n’existe même pas de terme scientifique pour désigner les femmes fontaines. Les premières études sur le plaisir féminin datent des années 1970, et la science en est encore au stade des hypothèses. « On s’y est peu intéressé parce que, de façon générale, on a mis du temps à reconnaître aux femmes leur droit au plaisir, explique Janine Mossuz-Lavau. Elles étaient des mères potentielles, il fallait brider leur sexualité. »

Nos inhibitions collectives expliqueraient pourquoi les femmes fontaines sont si rares. Car le silence pèse encore plus lourd pour celles dont le plaisir se manifeste avec autant de force. « Dans nos représentations collectives, souligne Alain Héril, l’homme est pénétrant et jaillissant. La femme, intérieure et mystérieuse. Tout à coup, on attribue aux femmes un terme et un fonctionnement jusque-là réservés aux hommes. Les femmes fontaines fascinent et troublent, parce que, avec elles, les frontières du genre deviennent plus floues. » Certains hommes peuvent très mal le vivre, comme si on leur volait une part de leur virilité. « D’autres, au contraire, le reçoivent comme une récompense, heureux de voir leur partenaire manifester un tel plaisir avec eux », sourit le sexothérapeute. Plus ou moins machos, plus ou moins féministes : de l’attitude des hommes dépend souvent la sérénité de leur partenaire.

Le poids de la honte

De nombreuses femmes ont répondu à notre appel à témoins sur Psycho­logies.com. Toutes disent la gêne terrible qui accompagnait les premières fois. « Sale », « dégradant » sont des mots qui reviennent souvent. D’abord, parce que le manque d’information est tel qu’elles ont toutes cru qu’elles urinaient. Ensuite, parce que « ce jaillissement renvoie à une sexualité libérée, brute, presque animale, observe Alain Héril. Cette hypersexualité peut faire peur. Plus ou moins consciemment, ces femmes craignent que ce flux ne s’arrête jamais ». Au mieux, elles n’en parlent à personne et renforcent par là même le tabou qui les entoure. Au pire, « elles retiennent tout, et peuvent alors ne plus ressentir le moindre ­plaisir », déplore Sylvain Mimoun.

Les femmes peuvent retenir ce liquide, ou en provoquer l’expulsion. « C’est toujours cette question de lâcher-prise qui reste la clé du plaisir, note Alain Héril. Chez ces femmes, à un moment donné, il y a quelque chose qui lâche, dans tous les sens du terme. » Pourquoi elles et pas d’autres ? Il est toujours difficile de le savoir, tant cela renvoie à l’histoire de chacune. « Certaines, moins sensibles aux tabous, acceptent mieux cette part de sauvagerie ; d’autres iront même inconsciemment la rechercher ; d’autres encore, plus phalliques, aimeront pouvoir manifester leur plaisir “comme un homme” », résume le sexothérapeute. Les témoignages se ressemblent toujours sur un point : la première fois, c’est arrivé par surprise. Parce qu’elles étaient plus amoureuses, ou plus en confiance. Parce que « quelque chose » s’est passé, qui a à voir avec la magie d’une rencontre. Le hasard, en somme. « Le lâcher-prise ne se décrète pas, insiste Alain Héril. Le rechercher reste une forme de contrôle. Or le plaisir ne se contrôle pas. »

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 13:59

fb5d657b.jpg

Ton corps, qui crève d'envie de posséder le mien,
Guide mes doigts aux plus intimes caresses
Comme un hommage à nos délires abéliens,
Avant que tu ne deviennes l'homme-forteresse.

Ma main s'envole et se pose sur ma bouche ;
Elle effleure mes lèvres qui connaissent ton goût,
Elle devient Toi que plus rien n'effarouche,
Lorsque ton désir l'emporte, et se fait si doux.

Suis-la plus bas : elle descend le long de mon cou
Ce sont tes doigts qu'elle remplace, ô mon amour....
Le croirais-tu, en voyant mon regard ainsi fou,
Que nos transports inachevés aient pu être si courts ?

Le frisson affleure et je vois enfin se dresser
La pointe de mes seins, au souvenir de leur maître.
Ma main les parcourt, réminiscences du passé,
Et l'émoi se propage au plus profond de mon être.

Mon ventre palpite et mon flanc, lui, s'agite.
Le manque de Toi est impérieux, en ces contrées ;
Mes doigts fondent sur cette blessure que j'abrite
Elle est l'écrin de tes désirs les plus insensés. 

Les yeux clos, c'est ton corps que je vois dénudé
C'est ta bouche adorée, que je laisse m'explorer.
Ma vulve-alambic distille cette liqueur prohibée,
Dès lors que je fantasme ta présence enfiévrée.

D'une main je caresse, de l'autre je pénètre
Cet insondable gouffre, si avide de ta tendresse,
Et cette drôle de pointe érigée à ton encontre, 
Devient source d'un séisme à l'onde enchanteresse.

Accepte l'offrande de ce plaisir qui jaillit,
Car, tu le sais, ces caresses te sont dédiées.
Tu es celui qui inspire cette jouissance infinie
Depuis ce jour où nos destins se sont croisés.

Par justine-mo - Publié dans : poèmes
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés