Jeudi 15 janvier
4
15
/01
/Jan
21:37
Depuis quelques jours ,une scène qui c'est passée il y a 5 ans revient chaque fois dans ma tete au moment de dormir.
On sonne ,j'ouvre la porte ;il est là alors qui devrait etre au travail et il me dit:Mon esprit te réclame autant que mon corps.
Et cela se reproduit chaque soir ;pourquoi? J'ignore mais c'est ainsi .
Par justine-mo
-
Publié dans : Une vie de femme
1
Lundi 12 janvier
1
12
/01
/Jan
20:05
J'ai lu il y a
peu 20 nuances de Grey honnetement c'est d'une fadeur ;je ne l'ai meme pas fini
J'avais lu avant Le Marquis de Sade:
Citations du Marquis de Sade :
"Oui, je suis libertin, j'ai conçu tout ce qu'on peut
concevoir dans ce genre-là, mais je n'ai sûrement pas fait tout ce que j'ai conçu et ne le ferai sûrement jamais. Je suis un libertin, mais je ne suis pas un criminel ni un meurtrier."
(Marquis de Sade / 1740-1814)
Citations : "Dialogue entre un Prêtre et un Moribond" (1782)
"Le nom de Dieu ne sera jamais prononcé qu'accompagné d'invectives et d'imprécations et on le répètera le plus souvent possible."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Les 120 journées de Sodome / 1785)
"La prière est la plus douce consolation du malheureux ; il devient plus fort quand il a rempli ce devoir."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)
"Le système de l'amour du prochain est une chimère que nous devons au christianisme et non pas à la nature."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)
"L'homme serait le plus heureux des êtres si du seul besoin qu'il a d'une illusion quelconque ne naissait aussitôt la réalité."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1788)
"Un de mes plus grands plaisirs est de jurer Dieu quand je bande; il me semble que mon esprit, alors mille fois plus exalté, abhorre et méprise bien mieux cette
dégoûtante chimère."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / La Philosophie dans le boudoir / 1795)
"Dès l'instant où il n'y a plus de Dieu, à quoi sert d'insulter son nom ? Mais c'est qu'il est essentiel de prononcer des mots forts ou sales dans l'ivresse du
plaisir, et que ceux du blasphème servent bien l'imagination ; il faut orner ces mots du plus grand luxe d'expression ; il faut qu'ils scandalisent le plus possible ; car il est très doux de
scandaliser ; il existe là un petit triomphe pour l'orgueil qui n'est nullement à dédaigner."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / La Philosophie dans le boudoir / 1795)
"Un Dieu suppose une création, c'est-à-dire un instant où il n'y eut rien, ou bien un instant où tout fut dans le chaos. Si l'un ou l'autre de ces états était un
mal, pourquoi votre Dieu le laissait-il subsister ? Etait-il un bien, pourquoi le change-t-il ? Mais si tout est bien maintenant, votre Dieu n'a plus rien à faire: or, s'il est inutile, peut-il
être puissant, et s'il n'est pas puissant peut-il être Dieu; si la nature se meut elle-même enfin, à quoi sert le moteur ?"
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Justine / 1797)
"L'idée de dieu est, je l'avoue, le seul tort que je ne puisse pardonner à l'homme."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)
"Mon plus grand chagrin est qu'il n'existe réellement pas de Dieu et de me voir privé, par là, du plaisir de l'insulter plus positivement."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)
"Si ce Dieu, centre du mal et de la férocité, tourmente et fait tourmenter l'homme par la nature, et par d'autres hommes pendant tout le temps de son existence,
comment douter qu'il n'agisse de même, et peut-être involontairement, sur ce souffle qui lui servit, et qui [...] n'est autre que le mal lui-même."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)
"Le prétendu Dieu des hommes n'est que l'assemblage de tous les êtres, de toutes les propriétés, de toutes les puissances ; il est la cause immanente et non
distincte de tous les effets de la nature ; c'est parce qu'on s'est abusé sur les qualités de cet être chimérique, c'est parce qu'on l'a vu tour à tour bon, méchant, jaloux, vindicatif, qu'on a
supposé de là qu'il devait punir ou récompenser. Mais Dieu n'est que la nature et tout égal à la nature : tous les êtres qu'elle produit sont indifférents à ses yeux, puisqu'il ne lui coûte pas
plus à créer l'un que l'autre."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / L'Histoire de Juliette / 1797)
"Dieu est absolument pour l'homme ce que sont les couleurs pour un aveugle de naissance, il lui est impossible de se les figurer."
(Marquis de Sade / 1740-1814 / Pensées)
"Tout le bonheur des hommes est dans l'imagination."
(Marquis de Sade / 1740-1814)
Biographie du Marquis de Sade :
Ecrivain français, philosophe, libertin et athée. Donatien Alphonse François, marquis de Sade est né dans une vieille famille aristocratique. Entré à 14 ans dans une école militaire,
il revient à Paris en 1763 comme capitaine. Il montre, en fréquentant les actrices et les courtisanes son goût pour la luxure, qui lui vaut, l'année même et peu de temps après son
mariage, un premier séjour en prison pour "débauche outrée".
Après une seconde incarcération de six mois en 1768 pour flagellation, il est accusé en 1772 d'empoisonnement pour avoir rendu malade une prostituée à qui il avait fait prendre des
dragées aphrodisiaques. Il est condamné à mort par contumace. Arrêté, puis évadé, il est finalement repris et, sous le coup d'une lettre de cachet, incarcéré successivement à Vincennes, à
la Bastille et à Charenton. C'est pendant cette longue période d'emprisonnement que Donatien Alphonse François de Sade commence à écrire pour dissiper son ennui. Il est libéré en 1790 par
la Révolution comme toutes les victimes de lettres de cachet.
Pendant la Révolution, ses deux fils émigrent, sa femme obtient la séparation du fait de ses violences conjugales. Ses biens en Provence ayant été pillés, sans ressources, le Marquis de
Sade essaie de faire jouer ses pièces de théâtre pour pouvoir survivre. Bien qu'ayant milité dans une section révolutionnaire de quartier, il est condamné à mort en 1793. Il échappe à la
guillotine à cause d'une erreur administrative. Il vit alors modestement de ses publications. Il est arrêté en 1801 à cause de ses écrits outrageux et de leur violence pornographique et
interné par décision administrative à l'asile de fous de Charenton. Bien que totalement lucide et malgré ses protestations, il va y rester jusqu'à sa mort. Il aura passé 30 années en
prison.
Maîtrisant parfaitement la langue française, le Marquis de Sade alterne dans ses ouvrages les scènes pornographiques souvent extrêmes et les dissertations philosophiques. Dans "Dialogue
entre un prêtre et un moribond" (1782), il affirme un athéisme absolu et ne laissera plus passer une occasion de l'afficher dans ses écrits. Ce n'est qu'à partir du milieu de XXe siècle
que son oeuvre, longtemps interdite et diabolisée, sera redécouverte et réhabilitée. Elle n'est plus lue sous le seul angle superficiel du "sadisme" et de la pornographie, mais sous sa
fonction libératrice en s'attaquant aux hypocrisies de la société et à la pensée dominante. Le marquis de Sade défend les vices au nom de la nature, en en faisant apparaître les
contradictions. Son imagination souvent outrancière est perçue comme le désir de libérer l'homme de ses contraintes. Il peut être considéré comme l'un des grands écrivains français et un
philosophe qui va jusqu'au bout de ses pensées et aux limites de leurs conséquences logiques.
|
Principales oeuvres : L'inconstant (comédie, 1781), Dialogue entre un prêtre et un moribond (1782), Le
prévaricateur (tragédie, 1783), La folle épreuve ou le mari crédule (comédie, 1783), Les 120 journées de Sodome ou l'école du libertinage (1785), La vérité (1787), Aline et Valcour, les
crimes de l'amour (1786, publié en 1795), Historiettes, contes et fabliaux (1788), Les crimes de l'amour (1788), Les infortunes de la vertu (1ère version de Justine, 1787), Justine ou les
malheurs de la vertu (1788, publié en 1791), Eugénie de Franval (1788), Catalogue raisonné des Œuvres de M. Sxxx. (1788) , La philosophie dans le boudoir (1795), La nouvelle Justine
(1797), L'Histoire de Juliette (1797).
|
Voir un extrait de l'article de L'Humanité du 24 août 2009 : Sade,
ou le plus athée des athées
Liens:
Oeuvres du Marquis de Sade
Histori-Art - Les perversions du marquis de Sade
|
Par justine-mo
-
Publié dans : Histoires des autres
0
Mercredi 31 décembre
3
31
/12
/Déc
06:56
Année qui se finit pour moi avec ce souvenir de ce jour ou tu a accepté de lacher du lest pour n'etre quen toi pour ma plus grande joie mais aussi pour ma tristesse.
Et un peu de poésie avec ce poème de Louis Aragon que mit en musique Georges Brassens et qui est si vrai :
Rien n'est jamais acquis à l'homme, ni sa force
ni sa faiblesse ni son coeur, et quand il croit
ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
et quand il veut serrer son bonheur il le broie
sa vie est un étrange et douloureux divorce
il n'y a pas d'amour heureux
sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
qu'on avait habillés pour un autre destin
à quoi peut leur servir de se lever matin
eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains,
dites ces mots ma vie et retenez vos larmes
il n'y a pas d'amour heureux
mon bel amour mon cher amour ma déchirure
je te porte dans moi comme un oiseau blessé
et ceux-là sans savoir nous regarde passer
répétant après moi ces mots que j'ai tressés
et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
il n'y a pas d'amour heureux
le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson
ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
il n'y a pas d'amour heureux
je souhaite une meilleur année à tous
Mo 31 décembre 2014
Par justine-mo
-
Publié dans : Une vie de femme
1
Vendredi 26 décembre
5
26
/12
/Déc
10:17
Je n'aime pas les fetes !
Décembre c'est le mois ou parfois j'ai envie de disparaitre tellement c'est pas toujours ce que je voudrais!
L'année dernière j'aurais voulu le voir mais comme parfois il y a eu un empechement.
Je me rappelle d'un Noel pas loin de chez lui ,ou j'étais invitée ;j'ai bu un peu trop ainsi que une amie et j'avais trop envie d'aller le voir ,je me
foutais de tout moi la discrète!heureusement le mari de cette amie avait planqué les clés de la voiture!
Il y a 4 ans on m'a opéré d'un carsinome baso-cellulaire et j'avais pas envie de passer les fetes en famille ;il neigeait ,les routes n'étaient pas sur ,il est venu
et etre dans ses bras fut mon plus beau Noel.
Cette année ce fut en famille mais avec mes pensées vers lui .
Le temps passe mais chaque instant il est la .
26 décembre 2014 Justine-Mo
Par justine-mo
-
Publié dans : Une vie de femme
0
Dimanche 21 décembre
7
21
/12
/Déc
19:25
Inspiré d'un fait réel...
Secret de tournage sur L'Empire des sens
L'Empire des sens est inspiré de faits authentiques. Dans le Japon militariste de 1936, un couple défraya la chronique en vivant une passion charnelle extrême. L'ancienne
Geisha Sada Abe et son amant Kichizo s'entraînèrent chacun dans une spirale érotique qui les coupa progressivement du monde extérieur. Une folie dictée par les sens qui se termina par
l'arrestation de Sada Abe, retrouvée errant dans la rue avec le sexe de Kichizo qu'elle avait auparavant mutilé
www.zone-telechargement.com/.../45001-lempire-des-sens-dvdrip.html
Poème sur l'empire des sens
Le réveil a sonné et j'ai ouvert les yeux.
A peine connecté, je me sentais chanceux.
Et le jour s'est levé, moi les sens en éveil.
Les idées embrumées toujours dans le sommeil.
Soleil sur mon visage; en tête un rêve fou.
Bercé par ton image et puis celle de nous.
Allongée toute nue; ainsi je t'imagine
Là ton corps étendu, je te rêve câline.

Par l'empire des sens, j'ai envie que tu
vibres,
Cinq en toute innocence, je veux te rendre libre.
La vue, l'ouïe, le toucher; je vais te les décrire.
Le goût et l'odorat vont rythmer mes désirs...
Un coup d'oeil à tes formes, la courbe de tes hanches...
S'enflamment mes hormones, surtout quand tu te penches.
Le galbe de tes seins, les contours de ta bouche...
J'en deviens cabotin... Viens sans être farouche.

D'abord quelques caresses, t'effleurer de mes mains.
Avec délicatesse, te parcourir sans fin.
Toucher ta douce peau, ressentir le frisson
Qui te parcourt le dos; curieuse sensation.
T'entendre susurrer des mots doux à l'oreille
De ta voix amusée; je fonds pour toi, merveille.
Quelques gémissements, passion et puis tendresse,
Dans un ton envoûtant; je fonds pour toi, déesse.

Sucré ou pimenté, ne t'arrête pas
là...
Amer ou épicé, continue là comme ça.
Goûter à tes baisers, moelleux sont ces trésors.
J'en suis comme drogué, c'est sûr j'en veux encore.
Je ferme alors les yeux et me laisse guider.
Mon nez aventureux, là c'est à lui de jouer.
Je pense à ton odeur; musquée, douce à la fois.
C'est rien que du bonheur, je te veux toute à moi.
Puis ce sixième sens, celui de l'intuition.
Il a son importance, nous fait perdre raison.
Sans lui je crois, je pense, que je serai parti...
Mais j'ai compris ma chance, je t'aime mon amie.
Kristone78©
Par justine-mo
-
Publié dans : Histoires des autres
0