Le blog de justine-mo

  Dès le matin, des sms enflammés firent monter la fièvre en nous..

  Quand  je pris  le train il était 17h tu n'avais eu qu'une exigence, que ne porte pas de dessous, tu  m'attendais et nous  passâmes par des chemins peu fréquentés , ta  main alla vérifier si j'avais obéis,   Je sentais  ce désir  et  je pus le vérifier de ma main que, je  passais sous ton bermuda pour la poser sur ta queue dardante. Tu aurais  bien voulu pouvoir t'arreter mais, trop de monde alors mains baladeuses,

  tu eu la patience  d'attendre d'arriver  chez  toi mais, appétence exacerbée se faisant, bien aimée j'aurais  souhaitée que non !! 
  A peine porte  franchie, je me retrouvais plaquée sur ton canapé jambes écartées, ruisselante pendant un cuni de rêve. Il était  19h30 et ne savais  pas que cela  était  parti  pour plus de 3 heures.

 

 Je me relevais  chancelante et tu m'ammenas sur ton lit . Alors que tes lévres m'aspiraient les tétons, 

  tes mains, doigts explorérent mon corps, jouissante j'étais  déjà mais, je sentais s'échapper entre  mes  jambes ce désir qui te fascine.
 Ce que tu ne savais pas  c'est  que, je voulais  changer la règle toi au dessous et, t'obligeais à t'allonger  puis me  mis sur toi..

  Je ne savais  pas si j'arriverai à te  faire plaisir mais, tu me serras si fort  alors que jouissait tout en sucant ton sexe, que sus  qu'avais  trouvé ce qui te plairais: la femme-fontaine  t'inondant le visage de son plaisir...   J'ai vu dans ton regard que tu étais étonné mais surtout, qu'avait aimé ce moment  tout autant que  moi l'avais aimée.. Mais  ce  n'était pas  fini car ton lit, avait tant receuillit l'abondance de ma jouissance que, pour plus d'aisance nous  finirent sur le canapé où, me pris vaillamment en levrette.

    Puis  tes yeux  dans les miens, ton désir s'échappant de Moi alors que le mien, luisait sur ton visage,
3heures de sens en ébullition , 3heures  de plaisir sauvage  à l'état pur , j'ai aimé et d'y penser me fait encore mouiller...

  Alors  je garde  en moi, cette image  de ce sexe  dardant et, de cette source inépuisable  qui t'exite tant...

Mo le 6 aout 2017