Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 20:36

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Assis, tranquille et ferme dans le grand canapé,

Ta main vient se poser sur mon sexe bandé.

La fermeture glisse, tes doigts serrent ma tige

Et l'extirpent enfin, l'exposant au vertige,

La dégageant.

 

Tes mouvements sont de lents va-et-vient

Tout au long de ma hampe que tu branles à deux mains.

Comme une naufragée s'accrochant à l'épave,

Tu la serres plus fort dans des gestes plus suaves,

En l'agrippant.

 

Puis ta langue gourmande montre soudain sa pointe

Entre deux lèvres ourlées pareilles à deux mains jointes.

Ta bouche entraînée par un désir plus fort

Forme un coeur de baiser et s'approche encore,

L'embrassant.

 

Tu le lèches, l'agaces, le couvres de baisers,

Ta langue monte, descend, pour tout me titiller

Et ta bouche vorace gobe en un geste sûr

Tout le haut de mon sexe, rouge comme un fruit mûr,

L'avalant.

 

Ni tes mains, ni ta bouche, n'accordent de répit

A mon sexe tendu, cette bite, ce vit.

Tu le dégages enfin de tes lèvres brûlantes

Pour contempler, gourmande, cette pine bouillante,

Turgescente.

 

Tu renifles et flaires mes arômes secrets,

Le doux parfum d'un corps par ton corps excité.

Tout en cambrant le coup, tu humes chaque pli

D'un membre déployé en ce début de nuit,

Odorant.

 

Inlassable pourtant tu reprends ton ouvrage.

Montant et descendant et à chaque passage,

Ta langue m'excite fort lorsqu'enfin tu l'enroules,

Avant de regober et ma queue et mes boules,

Me suçant.

 

T'accordant par instant un répit mérité,

De ta bouche de feu ta main prend le relais,

Pressante et agitée, en danseuse hystérique,

Elle effectue sur moi une danse érotique,

Me branlant.

 

Agitées par tes mains qui bien plus haut s'activent

En soubresauts coquins, mes bourses t'invectivent,

T'interpellent parfois dans leur rondeurs ovales.

Alors, tu tends tes doigts vers les fruits de ton mâle,

Les flattant.

 

Puis tu reprends ta course, buccale cavalière,

Me pompant crescendo, moi, te regardant faire.

Je me laisse sombrer dans la mer de plaisirs

Où tu m'as entraîné, manquant de défaillir,

En giclant.

 

Impassible pompeuse, tu accueilles mon sperme.

Ton regard de triomphe défie mes yeux qui se ferment.

Mes saccades agitent mon membre tuméfié.

Toi, tu gardes mon jus comme un trésor confié,

M'absorbant.

 

Appliquée et sensuelle tu continues ton oeuvre,

Ne laissant rien se perdre en futiles manoeuvres.

Tu désembouches enfin mon sexe ramolli,

T'allonges près de moi et mets ta main sur lui,

Le flattant.

                                       Michel 

 

 

Par justine-mo - Publié dans : poèmes
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