Une vie de femme

Samedi 27 juin 6 27 /06 /Juin 18:07

  proxy.Mo

 Trois mots et leur explication:

 
Mon ami: car quand je  craque  tu sais apaiser mes doutes
 
Mon amant: celui qui me fait jouir ,hurler,crier pitié jusqu'au Nirvana
 
Mon Amour: celui qui est la part d'ombre cachée en moi car,
                       sans cela  tu ne pourrais être mon amant.
   
Mes doutes: peur donc souvent fuite  
 
Mes désirs: entre tes bras juste être ta maitresse
 
Mes envies de Toi: tes mains, ta bouche, ton inspiration et ton sexe..

  
  Huit ans et demi plus tard,
j'ai toujours en moi cette envie  de Toi..

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 10:58

8 ans et demi que malgré beaucoup de choses ça dure ,rien ne peut  nous séparer;notre  attente  est  dure mais  c'est ainsi.

 

Le désir  reste  là ,la vie fait pas toujours  de cadeaux  mais notre  histoire  fait partie de ces cadeaux  qui parfois  nous arrivent .

 

Pourtant c'était pas gagner !Croyez-vous  aux âmes soeurs? Moi oui.Il est mon double car sinon  y a longtemps que  cette passion serait finie.Mon coeur;mon âme;mon corps  le réclame mais je dois  garder mon self-contrôle  et quand je suis  loin je le peux,mais  si il est là pres de moi le pourrais-je??

Mo le 14 mai 2015

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Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 18:04

 

 

 

La masturbation est une activité tout à fait normale, agréable et bonne pour la santé. Fini, le tabou du plaisir solitaire féminin ! Il est grand temps de se rendre compte qu’il a bien plus d’avantages qu’on ne le pense.

Nous avons demandé au Dr. Lauren Streicher, professeur agrégée en gynécologie obstétrique à Northwestern University, de nous parler des bénéfices pour la santé de la masturbation. Mme Streicher explique que cette pratique contribue à l’amélioration de notre état de santé général : elle aide à mieux dormir, diminue le stress et permet de se sentir mieux dans sa peau. Mme Streicher rappelle qu’à l’instar de l’exercice physique ou d’un massage, la masturbation offre un moyen de se détendre émotionnellement et physiquement. Au lieu de se payer un massage onéreux, pourquoi ne pas rester chez soi pour un petit massage en solo ?

Alors tamisez les lumières, allumez quelques bougies et mettez-vous au lit (ou là où vous vous sentez la plus à l’aise) pour explorer votre corps. Voici 13 raisons de se masturber régulièrement quand on est une femme :

1. On se sent plus heureuse…
"Nous savons que le plaisir rend les gens heureux", explique Mme Streicher. C’est aussi simple que ça. Les orgasmes libèrent des endorphines, la dopamine et l’ocytocine, qui nous rendent de meilleure humeur et nous transportent sur un nuage. Aux paradis artificiels, préférez le plaisir au naturel!

2. … et mieux dans sa peau
Il est essentiel d’être à l’aise dans son corps : c’est une des seules choses qui ne nous quittera pas de toute notre vie. Une manière d’entretenir d’excellents rapports passe par son exploration méthodique. "Il est absolument essentiel que les femmes aient une bonne connaissance de leur corps et de la façon de se donner du plaisir", ajoute-t-elle. C’est l’heure des travaux pratiques…

 

3. La masturbation peut améliorer notre vie sexuelle…
La masturbation permet d’explorer son corps et de découvrir ce qui nous procure le plus de plaisir. Elle peut donner de l’assurance au lit et vous aider à faire part à votre partenaire de ce que vous souhaitez. Une fois que vous avez compris ce qui vous fait du bien, vous pouvez lui dire où vous voulez être caressée.

4. … nous aider à mieux dormir…
Pourquoi tombons-nous généralement dans les bras de Morphée après nous être tordues de plaisir? Parce que les orgasmes dissipent les tensions émotionnelles et physiques et épuisent le corps, ce qui aide à s’endormir plus rapidement. "On dort souvent mieux après s’être masturbée, parce qu’on se sent détendue et comblée", indique Mme Streicher. La masturbation provoque la somnolence, comme le fait de lire avant de s’endormir: on se sent plus calme et détendue après!

5. … et à relâcher la tension sexuelle en se faisant du bien
Si on a choisi de ne pas faire l’amour, ou qu’on est dans une période d’abstinence involontaire, la masturbation est un moyen très efficace de satisfaire sa libido. masturbation.jpg

6. La masturbation peut réduire les douleurs physiques, y compris menstruelles
"Si votre utérus se contracte quand vous vous masturbez et que cette contraction facilite l’écoulement du sang menstruel... cela permet en théorie de diminuer les crampes", remarque Mme Streicher. Elle souligne néanmoins que les études qui permettent de valider cette théorie sont encore rares, mais ne voit aucune raison de ne pas se masturber pendant les règles: "Ça ne fait jamais de mal. Alors, si ça vous soulage, ne vous en privez pas." C’est carrément plus sympa qu’un coussin chauffant…

7. Elle déstresse
"Tout ce qui permet de se détendre après une dure journée, que ce soit une séance de yoga ou un massage des pieds, relève de la même démarche", explique Mme Streicher. "Ça ne passe pas forcément par la sexualité, mais le sexe et la masturbation sont des moyens très efficaces de se déstresser." Une méthode qui fait envie!

8. Elle permet à notre corps de rester sexuel... même quand on n’a pas de rapports
"Si vous êtes entre deux partenaires, la masturbation permet non seulement d’entretenir l’élasticité et la bonne santé des tissus, et d’augmenter la pression sanguine, mais aussi une bonne hygiène mental", ajoute Mme Streicher. "Nous savons que le sexe et l’excitation naissent dans le cerveau. Plus on fait l’amour et plus on a envie de faire l’amour parce qu’on y pense plus souvent. Quand on n’a pas eu de rapports depuis très longtemps, la plupart du temps, on n’y pense même plus."

9. Il y existe pleins de jouets cools pour nous aider à prendre du plaisir
Des vibromasseurs mains libres aux faux bâtons de rouge à lèvres, il y a un vibro pour chacune d’entre nous!

10. Quand on est en couple, c’est une manière très agréable de varier les plaisirs, et d’entretenir sa libido
Comme le fait remarquer Mme Streicher, plus on fait l’amour, plus on en a envie. En toute logique, plus on se masturbe et plus on est à l’aise avec sa sexualité, plus on aura envie de son ou de sa partenaire. "Nous savons que la masturbation stimule la zone de notre cerveau qui entretient la libido", indique la chercheuse.

11. Ca. Donne. De. Multiples. Orgasmes.
Comprendre la façon dont son corps fonctionne permet de savoir précisément comment lui faire du bien. Une fois, deux fois, trois fois… Tout dépend de notre appétit ! L’orgasme est généralement un aboutissement pour les hommes, mais les femmes peuvent jouir plusieurs fois de suite. Alors pourquoi s’en priver ?

12. Il n’y a pas d’effets négatifs
La masturbation n’a "strictement aucun effet négatif", explique Mme Streicher. "Cette activité ne présente aucun inconvénient: on ne peut rien attraper, on ne tombe pas enceinte, on n’a pas de nausées. C’est le seul vice qui ne s’accompagne d’aucune répercussion négative."

13. C’est tout simplement délicieux 

 

 


 

 

 

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 21:32

Les Plaisirs Vus d’en Haut ou les Principes de la Domination Sexuelle

Dans l’imaginaire de ceux qui n’ont pas encore osé se laisser tenter par les joies du BDSM, la position de dominant est la plus enviable à la fois parce qu’elle implique la détention d’un pouvoir certain, mais également parce que la position de soumis est perçue pour les non connaisseurs comme dégradante et humiliante.

Le plaisir dans la domination BDSM

Mais la réalité est évidemment bien plus complexe et la position de dominant est loin d’être la plus évidente. Si le soumis subit pour son plus grand plaisir, le dominant doit sans cesse veiller au bon déroulement du jeu érotique et sa responsabilité est immense dans la quête de plaisir de chacun.

Alors si dans votre couple, toutes vos tentatives d’initiation au BDSM soft ont échoué parce que vous vouliez tous deux être le dominant, à la façon des enfants qui veulent faire les cowboys et jamais les Indiens, voici une petite présentation des plaisirs et des responsabilités du dominant afin que vous saisissiez l’ampleur de la tâche autant que des plaisirs…

Les plaisirs de la domination

Si le soumis aime l’abandon et le lâcher prise qui lui offrent une liberté infinie d’où il puise son plaisir, le dominant tire le sien dans les différentes formes que prend le pouvoir qu’il se voit conférer.

Le plaisir de mener le jeu

Même si les limites sont fixées par les deux protagonistes, le dominant est celui qui fixe les règles, qui décide de tout dans l’espace préétabli. Aussi loin que le soumis est prêt à le suivre, il peut changer les règles, modifier les lieux, emmener le soumis ou bon lui semble et lui faire faire tout ce qu’il désire, que ce soit dans l’intimité d’un lieu fermé ou sous les regards dans un lieu public. Le dominant prend ainsi du plaisir dans le pouvoir absolu qu’il détient sur le jeu

Plaisirs de l’ascendance
  • Ascendance physique : Le pouvoir exercé sur le soumis prend plusieurs formes, il est notamment physique puisqu’il peut exiger du soumis autant des faveurs sexuelles que le port d’accessoires ou d’habits particuliers, il peut, selon les limites prédéfinies, l’obliger à offrir son corps à d’autres ou dans des jeux plus softs d’exécuter ses moindre désirs coquins.
  • Ascendance psychologique : Il y a également le fort pouvoir psychologique puisque le soumis, par définition, accepte de se soumettre aux volontés du dominant qui détient entre ses mains le pouvoir de donner du plaisir ou au contraire d’en priver le soumis en décidant du déroulé du jeu, mais aussi à travers le vocabulaire employé avec une ascendance verbale puisque le dominant est souvent nommé « maître » ou « maîtresse » selon le sexe et le soumis peut être appelé « esclave » ou autre appellation du genre.
Plaisir de l’assouvissement de désirs « pervers » et « sadiques »

Entendez par là du pervers modéré et du sadisme acceptable. Il s’agit par exemple du plaisir d’infliger une punition à son soumis parce qu’il n’a pas été assez obéissant ou performant et d’apprécier de le voir souffrir durant sa punition ! Sachant que pour rappel, regarder le soumis souffrir, c’est aussi le regarder prendre du plaisir… La punition peut prendre plusieurs formes : humiliation en public en portant par exemple un habit ridicule, ou punition corporelle comme la fessée, ou privation d’un plaisir du soumis comme l’interdiction pour lui de se donner du plaisir en solitaire pendant une certaine période…

Les responsabilités

La gestion du pouvoir

Comme le disait le tonton de Spiderman, un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. Pour le dominant, il s’agit de savoir modérer ses conduites pour ne pas sortir du jeu et rester dans les limites fixées. Si le soumis peut s’abandonner complètement, le dominant doit au contraire veiller en permanence à s’assurer du bon déroulement du jeu.

L’acceptation des limites de l’autre

L’existence d’un « safe word », sorte de code permettant l’arrêt du jeu à tout instant lorsqu’un participant ne se sent plus à l’aise et veut revenir à la vie « normale », est surtout là pour le soumis qui peut décider de tout stopper lorsqu’il estime que cela va trop loin. Le rôle du dominant est d’explorer les limites les plus lointaines sans sombrer dans l’excès et d’être en permanence en retenu.

La responsabilité ludique

En étant le meneur de jeu, le dominant a également une responsabilité essentielle, celle de rendre le jeu intéressant ! En effet, en étant trop doux, ou trop timide ou sans imagination ou au contraire en allant toujours trop loin, le dominant qui ne maitrise pas bien le scénario établi risque de faire chavirer le rapport et le rendre ennuyeux.

La responsabilité en fonction du degré

L’univers BDSM est vaste comme son champ des possibles : il existe du BDSM dit softque tout couple pourra pratiquer dans le confort de son foyer pour explorer de nouveaux plaisirs, et dans ce cas la responsabilité du dominant est plutôt modéré. Mais dans les explorations plus aventureuses, où l’on n’hésite pas à avoir recours quelques instruments de tortures pour alimenter la douleur, de type pince à tétons ou écarteur d’urètre, le maître doit rester extrêmement vigilent.

BDSM des plaisirs a fleur de peau

La mise en scène

Elle est essentielle dans le rapport de domination soumission, il faut des bases de jeu pour que prenne la mayonnaise sadomasochiste… Et cette mise en scène prend plusieurs formes.

Le vocabulaire

Comme nous l’avons précisé plus haut, le dominant peut se faire appeler « Maître » ou « Seigneur » ou « Messire » ou tout autre surnom approprié au jeu choisi. L’emploi de ce type de vocabulaire permet tout simplement d’aider chacun à bien entrer dans son rôle et le tenir.

Les accessoires du dominant 

Ils dépendent là encore du scénario choisi et de l’intensité donnée au rapport, et si vous souhaitez vous initier à ces plaisirs particuliers, vous pouvez commencer par vous munird’un fouet pour de douces caresses appuyées, d’une paire de menottes pour entraver votre « esclave », d’un bandeau pour l’aveugler et lui faire subir de délicieux supplices…

 

 

Le dominant dominé

La place du dominant est donc source d’un plaisir certain de pouvoir et de contrôle, de la liberté de faire ce qu’il souhaite, mais elle est également riche en responsabilité pour le bon fonctionnement du jeu. Comme le soumis jouit de la liberté d’être dominé quand le dominant doit retenir ses ardeurs, ce rôle de contrôle et de veille au bon déroulement des choses fait parfois se demander si le maître n’est pas finalement le véritable esclave des plaisirs de son soumis

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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Lundi 23 mars 1 23 /03 /Mars 21:30

Le Contrat de Soumission ou Comment Fixer les Règles du Plaisir

Qu’il soit écrit ou oral, le contrat BDSM qui lie un « maître » et son « esclave » est un des éléments clés de la relation de domination. Il a un rôle qui va bien au-delà de celui de fixer les limites à ne pas dépasser. Il contient l’essence de la relation et détermine la façon dont les deux protagonistes vont vivre leur relation dominant dominé. Par ailleurs, le simple fait d’élaborer un contrat fait partie du plaisir car c’est un point de départ officiel à la relation, le commencement du jeu qui s’installe.

Passer un contrat BDSM

Ce contrat n’a évidemment aucune valeur légale et dès que l’un des partenaires ne veut plus s’y soumettre et souhaite mettre fin à la relation, il en a absolument le droit, sans aucun risque de poursuite judiciaire…

Alors si vous êtes tenté par l’idée d’établir un contrat avec votre partenaire afin de vous initier aux plaisirs du BDSM, voici quelques conseils…

Pourquoi faire un contrat ?

Parce qu’il y a plusieurs façons d’aborder une relation de soumission. Maîtres et esclaves n’ont pas toujours les mêmes envies ou attentes et ce contrat permet de cibler précisément ce que les deux parties souhaitent. Par ailleurs, celui-ci fixe les règles à ne pas dépasser, limitant la liste de droits et devoirs des deux parties. Par exemple, certaines relations peuvent ne pas inclure de rapport sexuel, d’autres seront plus orientées vers les manières de vivre la soumission en public…

Il est important de prendre du temps pour rédiger ce contrat et de ne pas le faire dans la précipitation. Un contrat bancal risque de conduire à une relation bancale !

Plaisir d'obeir

Que met-on dans le contrat ?

Il faut que les deux parties y trouvent leur compte, qu’elles aient chacune un espace de liberté (ou de non liberté !) qui leur permette d’éprouver du plaisir dans la relation : pas d’abus sur le soumis, mais pas non plus de limites trop contraignantes pour le maitre.

Le contexte, la forme
  • L’attitude générale du soumis : On peut définir dans le contrat la manière dont celui-ci doit parler (utilisation de « Maître » ou « Maitresse » pour s’adresser à lui ou elle, vouvoiement, ton respectueux) et également la façon de se comporter en sa présence (baise main, tête baissée sans jamais regarder le maître dans les yeux)…
  • La façon de s’apprêter du soumis : Le contrat peut préciser si celui-ci doits’habiller de façon sexy, porter ou non des sous-vêtements, une couleur particulière… Mais il peut aussi préciser si le soumis doit avoir les parties génitales rasées, la nature du parfum qu’il doit porter…
  • Le lieu des séances : Si les deux partenaires vivent ensemble, ils pourront déterminer que leur habitation est leur « terrain de jeux », sinon on peut définir un endroit qui servira aux séances. On pourra également définir si la relation se poursuit lorsque l’on est dans les lieux publics et l’attitude à adopter dans ces conditions. Il est préférable de garder ce genre de relations un peu secrètes pour éviter de croiser son patron un samedi après-midi dans la rue alors qu’on est en cuir intégral et qu’on appelle son compagnon « Maître »…

se vetir pour le desir

Les envies et objectifs
  • Les désirs du maître et ceux de l’esclave : Il s’agit d’énumérer ce qui pourra se produire durant ces séances de soumission comme la mise à nu du soumis avec examen minutieux de son corps, le fait que ce corps doit être ou non toujours disponible pour le maître, le port d’un élément de soumission comme un collier ou un tatouage, une liste de tâches que devra effectuer le soumis…
  • Les objectifs des séances : Le maître fixe des objectifs pour rendre son esclave « meilleur ». Il lui enseigne les préceptes pour être un bon soumis et pour s’améliorer dans tel ou tel domaine de nature sexuelle ou autre.
  • Le rapport au plaisir : Point très important du contrat, il s’agit de déterminer le niveau de plaisir autorisé au soumis. Est-ce qu’il a l’autorisation d’avoir des orgasmeset à quelles conditions ? Peut-il se masturber en l’absence de son maître ? Est-ce que le maître peut imposer des périodes de chasteté ? etc…
Les limites
  • Les instants de liberté d’expression : On peut décider que le maître laisse quelques fois son esclave exprimer ses envies pendant des instants limités. Par ailleurs, et sans nécessairement l’instaurer par écrit, il est important de se mettre d’accord sur un « safe word », un mot que le soumis peut prononcer lorsqu’il veut que le jeu s’arrête.
  • Les menottes LELOCe que le soumis accepte : L’utilisation de lienspour être attaché, l’emploi de sex-toys par le Maître pour « torturer le soumis » ou de tout autre accessoire de BDSM, la pratique ou non de la fessée, voire même le prêt du soumis à d’autres partenaires ou non… Il s’agit de tout ce qui peut passer par la tête des deux partenaires et qui mérite approbation !
  • Les limites de la douleur : Pour les punitions ou les rapports sexuels un peu agités, il faut également définir le seuil de douleur autorisé. Il peut s’agir de refuser d’être molesté sur tel ou tel zone du corps, de refuser certains instruments trop douloureux, d’accepter ou non de jouer aussi du côté des plaisirs anaux…
  • Les limites dans le temps : On peut fixer la fréquence des séances dans le contrat, déterminer la part de temps libre que le soumis doit consacrer à son maître, si celui-ci a du « travail à la maison » comme le port d’une ceinture de chasteté entre les sessions ou l’obligation de manger tel ou tel plat…
  • Les limites dans l’espace : Comme mentionné plus haut, il est également nécessaire de fixer des limites au jeu pour que celui-ci ne vienne pas s’immiscer dans la vie sociale.
  • Les punitions : On décide dans cette partie dans quels cas les punitions seront infligées (refus d’obéir, parler sans autorisation, faute avouée ou cachée, ou même sans raison…) et la forme qu’elles prendront (rester dans la même position plusieurs heures, être fouetté, être privé d’un plaisir, ou tout autre idée qui ne sort pas des limites fixées !)

La forme du contrat

Pour lui donner des airs solennels, on rédige le contrat comme s’il était véritable avec un langage châtié de type juridique, des articles numérotés et ordonnés, une date, une mention des noms des deux parties et une signature en bas de page pour confirmer l’approbation… Dans la trilogie à succès « 50 Nuances », un contrat de cette forme est passé entre les deux protagonistes si vous désirez voir de plus près à quoi cela ressemble…

Pour certains adeptes des plaisirs des jeux BDSM, le contrat présente des inconvénients puisqu’il met des barrières et gâche ainsi un peu la spontanéité de la relation en dictant ce qu’il faut faire et ne pas faire. Mais outre le fait que ce contrat protège le soumis des abus de son maître, il permet paradoxalement une plus grande liberté dans les différents jeux entre les deux partenaires. En effet, la liberté réside dans le choix de se soumettre et l’abandon est plus grand lorsque l’on met des limites !

Par justine-mo - Publié dans : Une vie de femme
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