Le désir, c'est le moteur de la sexualité. Sans lui, les câlins se transforment vite en obligation conjugale, sans sensations ni émotions. D'où vient-il ? Comment se manifeste-t-il, en particulier chez les femmes ? Explications.

Différents facteurs, à la fois physiques et psychologiques, entrent en jeu dans le déclenchement du désir sexuel : mode de vie, éducation, hormones, fantasmes, sentiments. Lorsque le désir est à son comble, il entraîne une excitation physique : le vagin se lubrifie, les tétons se durcissent.
L'influence des hormones

Les hormones du désir, ce sont les oestrogènes et la testostérone, produite par les ovaires. Les fluctuations hormonales, notamment au cours du cycle menstruel, influencent particulièrement l’intensité du désir féminin. Les jours qui précèdent l’ovulation, notre corps enregistre un pic d’œstrogènes, notre libido est alors à son apogée (sauf pour celles qui sont sous contraception bien sûr). En revanche, après un accouchement, nous sécrétons de la prolactine, une hormone anti désir. Ce qui explique que la sexualité après une grossesse pose souvent problème pour de nombreux couple.
Au bout du désir... l'orgasme

 40 positions pour atteindre l'orgasme féminin:

Les facteurs psychologiques
Education, culture, interdits sociaux et religieux hérités des siècles passés exercent encore une pression morale importante sur les femmes, qui expriment moins volontiers leurs désirs que les hommes. Par ailleurs, les femmes ont des difficultés à dissocier sexualité et sentiments. Elles ont généralement besoin d'être amoureuse pour avoir envie de faire l'amour. Enfin, nous sommes très sensibles à l'environnement et l'atmosphère : nous avons besoin de nous sentir détendues, zen et l’esprit libre pour avoir envie. Un cadre romantique est souvent très apprécié !
Age et désir sexuel
La libido s’accroît avec le temps et surtout l’expérience. La maturité sexuelle se situe vers 35 ans. A la ménopause, le taux d’œstrogène diminue, les ovaires génèrent moins de testostérone. Mais comme les facteurs psychologiques interviennent également, le désir ne baisse pas forcément : les femmes ayant plus de temps pour penser à elle et à leur couple, elles accordent davantage de place à leur vie sexuelle. Cette période de la vie d’une femme marque souvent une renaissance du désir.
Le point G, la voie pour atteindre le septième ciel

Les 15 positions du Kamasutra que votre point G va adorer

   Le « point G » : légende ou vérité ?
Dans les années 50, un médecin allemand met le doigt sur un point aujourd’hui sensible : l’existence d’une partie particulièrement érogène du vagin.
Son nom ? Ernest Gräfenberg. D’où la dénomination « point G », qu’on donnera quelques années plus tard à cette zone érotique.
Zone qui, lorsqu’elle est stimulée, procurerait un orgasme à sa propriétaire.

Problème : Plusieurs études scientifiques affirment que ce fameux point G n’est qu’un mythe.
Une étude italienne de 2014 atteste d’ailleurs que le seul chemin qui mène à la jouissance passerait par le clitoris.
Mais certains scientifiques assurent qu’il existe bel et bien, qu’il se situerait non loin de l’urètre, et qu’il serait possible d’atteindre l’orgasme en le stimulant.

15 positions à point nommé
Seule une minorité de femmes connait réellement l’orgasme vaginal.
Pour la plupart d’entre elles, il faut donc le chercher et l'entraîner.
Ces 15 positions du Kamasutra favoriseraient particulièrement cette quête.
Il n’appartient qu’à vous de les tester, afin de découvrir lesquelles sont les plus concluantes.

Rien ne sert de courir, il faut partir à point
Faites bien comprendre à Monsieur, que le temps où l’on croyait qu’un va et vient suffit à faire jouir Madame est révolu.
Il va falloir qu’il s’arme de persévérance et de passion.
Enfin, point d’impasse sur les préliminaires, ils sont une étape essentielle à cette découverte...


 Les femmes auraient grand intérêt pour leur santé et,
pour leur bien-être à consommer du sperme sans modération.
Antidépresseur, aliment minceur, aliment anti-âge, aliment anti-cancer…
découvrez les vertus du sperme.

Les bienfaits santé du sperme:

Je pense  à ces samedis  ou je me réveilles pres de toi ,repue bien dans ma peau,je sais  que je dois  rentrer  chez  moi .Le 17 mars  dans le train  j'étais  bien ,je sentais sur moi tes odeurs et j'aimais  cela..Ma nuit  fut courte  mais  orgasmique ..

Mo le 21 avril

 Entre les fêtes dédiées à nos famille et les problèmes de santé,
ces deux mois furent tres longs,
La patience était là mais, le manque  de l'autre aussi,
Je décidais d'aller le voir vendredi soir et arrivant en gare il était  là,
montant en sa  voiture je sentis que ces mains  se faisaient balladeuses et,
n'avais qu'une envie celle d'arriver enfin.

Je montais ses escaliers sous son regard et,
la tension  était palpable entre nous deux et,
me retrouvant dans la  chambre  à moitié vétue pour  un intense cunilingus,
je sentais  ses  mains sur moi, sa  bouche en moi et sentis que sous sa  langue,
la source coulait entre  mes  jambes et je perdis pieds dans  un orgasme ou je  me  mis  à crier ma jouissance alors qu'Il continuait  à se jouer de mes  sens  et,
nous primes notre  première  pause..

 
  Apres  un café nous retournâmes dans la chambre et les jeux se firent plus intense entre nous,
alternant longues pénétrations sexuelles non aboutit de sa part où,
par deux parfois je pensais qu'il allait exploser mais il savait ce qu'il faisait et,
ne le voulant ainsi j'avais toujours autant de plaisir méme si,
douloureusement contentée ...

Puis ayant autant faim de lui que de repos physique,
la seconde pause s'anonça et apres cet entracte,
ce fut là où desirant laisser mon sexe endolori de tant d'abus et de plaisirs,
qu'il retourna son extention et décida de,
me stimuler analement longuement tout en suçant torridement mon clyto et,
m'éffondrant sur le lit de fatigue autant que d'aisance,
me plaça en levrette sur son rebord et,
me maintenant fermement le bassin de ses mains pour ne pas que défaille,

pour le final finit par m'empaler de son sexe pourpre dardant qu'il,
avait déjà utilisé longuement auparavant sans désirer conclure..
Entrant en moi alors qu'en rechignais,
désireuse malgré cela je n'en ressentis aucune géne juste,
du plaisir et de l'envie lorsque le sentis entrer et,
lorsqu'il se vida j'en fus pleinement comblée...

Le plus dur fut de repartir aprés une nuit de désirs ainsi que plaisirs,
pour m'en rentrer chez  moi et attendre que tout recommence avec envie..

Plus jamais  deux  mois  l'un sans l'autre
 
Mo le 11 février 2018